Je ne veux pas lire mon histoire dans l'aberrance La certitude exclut toute idéologie de ta robe Lorsqu'elle est noire elle est blanche d'errance Lorsqu'elle est bleue elle est rouge d'exactitude Lorsqu'elle est verte elle est grise de relance Je ne sais plus définir l'objectivité de ta boucle d'oreille Les nouvelles de ton or dépassent mes flammes Le monde ne sait plus si la perplexité de ton collier se réveille La démarche de l'informant n'est plus la bague de ta vérité Le mensonge se veut la science de ton sommeil Ils assassinent là-bas sans que tes pigeons ne fassent de bruit Ils dépucellent tes sosies avec le pouvoir absolu de ton ombre Ils prostituent les cloches pour taire ton ardeur de sexe et de fruit Ils poussent les minarets à se prostituer dans les ruelles d'une Jérusalem céleste Ils enculent le judaïsme parce que tu es juive de père et de merle qui fuit Ils disent aux chaînes télévisées que les victimes sont heureuses L'incertitude des mots aboie en eux en elles en lui La fiscalité des crimes de tes gants La piété de gain colossal de tes gangs Le terrible sourire de tes lèvres de framboise Le servile baiser sur ton ventre qui boise La croisade de tes jambes écartées La sainteté de tes seins écartelés Tu ne veux pas dire la vérité de l'oiseau Tu ne peux pas te débarrasser de la phobie de leur guerre Lorsque je brûle d'envie pour une goutte d'eau Lorsque je massacre le sel pour ne pas pouvoir devenir miel Lorsque je rêve de toi comme prostitué au coin de mon tombeau Tu ne sais plus si tu as la conscience tranquille La machine qu'est l'homme n'est pas ta défense Tu es morte de peur de te retrouver seule dans une île Je paie trop cher ta quarantaine moi l'assujetti de ta bassesse Tes yeux fermés sont mon sombre avenir. |
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